aporétique

Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 2005 dans l'article Sur la guerre et l’Etat colonial, par Olivier Le Cour Grandmaison.

Sauf à user d’une expression qui aurait été aussitôt jugée aporétique, nul contemporain n’aurait pu écrire ou dire d’un barbare qu’il était bon, car les représentations contenues dans le sens commun ou plus savant de ce vocable excluaient cette possibilité ; il en est de même aujourd’hui.