antiproton
Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1967 dans l'article Un domaine où la France brille d'un éclat vif, par Louis Leprince-Ringuet.
Il faut déjà quelque six milliards d’électrons-volts d’énergie cinétique pour qu’un proton accéléré frappant un proton d’une cible permette d’obtenir les éléments fondamentaux de la matière et de l’antimatière, c’est-à-dire un proton et un antiproton, ou un neutron et un antineutron, ou dans des cas plus spéciaux un hypéron et un antihypéron.