antiphonaires

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1983 dans l'article Le jazz, gardien de la conscience, par Cornel West.

Au comble de sa gloire, la marque produisait des rythmes lisses et syncopés, et non des polyrythmes « funky » (comme James Brown ou The Watts 103rd Street Rythm Band) ; des formes retenues d’appel-et-réponse, et non des styles antiphonaires antinomiques, (comme avec Aretha Franklin ou feu Donny Hanthaway) ; des lyriques d’inspiration romantique, et non une musique de protestation sociale contre le racisme (comme Gil Scott Heron ou Archie Shepp).