antimaras
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 2004 dans l'article Derrière la violence des gangs du Salvador, par Philippe Revelli.
Un diagnostic accablant, qui permet de justifier les méthodes pour le moins musclées du LAPD et tout un arsenal de mesures liberticides : l’appartenance à un gang devient une circonstance aggravante, il est interdit aux membres d’une pandilla de voyager à deux dans une voiture ou dans un bus, de se réunir dans des lieux publics, de stationner dans la rue, d’utiliser un téléphone portable… Autant de mesures qui, aux yeux des envoyés spéciaux de la Prensa Grafica, l’un des principaux quotidiens du Salvador, font de Los Angeles un laboratoire de la guerre antimaras susceptible de servir d’exemple aux gouvernements centraméricains (11).