anti-malaria

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1977 dans l'article Premiers signes d'une timide ouverture au monde extérieur, par Nayan R. Chanda.

Les services médicaux et les produits pharmaceutiques aujourd’hui disponibles au Cambodge sont extrêmement insuffisants, vu l’étendue du mal mais le gouvernement a montré qu’il avait pris conscience du problème en abandonnant son refus de toute aide étrangère et en acceptant les médicaments anti-malaria offerts par les quakers américains.