anísio

Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 2017 dans l'article Portes ouvertes au secteur privé dans les prisons brésiliennes, par Anne Vigna.

Ensuite parce que, si les prisons privées (APAC ou autre) sont censées fonctionner à 100 % de leurs capacités, mais sans surpopulation, ce ne sont là que les bonnes intentions de départ… À Manaus, le complexe pénitentiaire Anísio Jobim, où viennent de mourir soixante détenus, était sous gestion privée et fonctionnait au triple de sa capacité, en l’absence de tout contrôle et sans surveillants.