amoralisée

Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 2001 dans l'article Paradoxes de la finance islamique, par Ibrahim Warde.

S’il leur faut choisir entre la finance conventionnelle qui s’est sécularisée, sinon « amoralisée », et un système de finance éthique cautionné par la religion (et fondé sur le principe que les activités économiques demeurent bénéfiques tant qu’elles sont exercées dans un cadre moral strict), la décision est d’autant plus aisée que le nombre de produits islamiques et d’institutions qui les offrent ne cesse de croître.