amarrerait

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1991 dans l'article L'Amérique de M. Bush ne renonce pas à la puissance militaire, par Richard J. Barnet.

Et il faudrait à l’évidence beaucoup de temps pour que la République de Russie ou un Kazakhstan soudain devenu agressif puisse relancer une quelconque guerre froide… L’argument politique le plus fort en faveur du maintien en vie de l’OTAN grâce à la puissance militaire américaine était qu’une telle coalition amarrerait la RFA à l’Occident et priverait Moscou de son arme la plus dangereuse ; son pouvoir de faire miroiter aux yeux des Allemands l’espoir d’une unification et de les faire changer de camp.

Un e autre apparition

Un autre article du Monde Diplomatique qui contient ce mot :

  1. La Turquie dans le grand jeu, par Alain Gresh