amarrée
Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 1972 dans l'article Anouar El Sadate : un certain sourire, par Jean Lacouture.
Une « dahabieh », sorte de maison flottante amarrée au bord du Nil, servait de souricière : c’est là que, guidés et charmes par d’aimables personnes, les officiers anglais en venaient parfois à laisser échapper des informations enregistrées par le diligent Sadate.
Deux autres apparitions
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