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Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1996 dans l'article Le tout-anglais n'est pas une fatalité, par Bernard Cassen.

S’en protéger, par la création d’interfaces hommes-machines, de programmes et de protocoles multilingues, peut même constituer une « niche » commerciale rentable, comme l’explique la conclusion d’une étude réalisée par la firme québécoise Alis Technologies : "Le français est assez proche de l’anglais pour que des solutions soient relativement aisées.