akjouj
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1983 dans l'article Une société tribale aux richesses convoitées, par Christine Jouvin.
Les mines de cuivre d’Akjouj, fermées en 1978 à la suite de l’effondrement des prix mondiaux, ont été réouvertes : c’est l’Arimco (irakienne et libyenne) et la Samin (compagnie arabe dans laquelle la Mauritanie a une petite part) qui ont fourni les 60 millions de dollars nécessaires.