akinari

Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 1987 dans l'article Un mariage d'amour et de raison, par Max Tessier.

Le spectateur occidental connaît d’ailleurs mieux les adaptations de ce que les Japonais appellent « littérature pure » (junbungaku), que l’on désignerait en France par « grande littérature », au nombre desquelles figurent des classiques comme les inévitables Rashômon, qu’Akira Kurosawa tira en 1950 de deux nouvelles de Ryûnosuke Akitagawa, ou les Contes de la lune vague, de Kenji Mizoguchi, d’après l’œuvre admirable d’Akinari Ueda.