akhmadoullina

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1998 dans l'article Le purgatoire des intellectuels russes, par Claude Frioux.

Si deux grandes figures de la dissidence, Andreï Siniavski et Vladimir Maximov, appellent le tsar Boris à un repentir immédiat, un texte portant la signature d’un certain nombre d’écrivains notoires — Bella Akhmadoullina, Dimitri Likhatchev ou Boulat Okoudjava — demande une répression anticommuniste radicale, sur un ton de flagornerie haineuse digne de l’année 1937 (1).