aimaks

Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1965 dans l'article Sans transition, de la théocratie à la république populaire, par Bernard Larguillier.

Les « routes naturelles » principales conduisant des aimaks (chefs-lieux) à la capitale sont aisément reconnaissables : là où reposaient jadis les ossements des animaux abandonnés durant des siècles par le passage des caravanes, on peut voir maintenant des squelettes d’automobiles.