aedificandi

Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 1989 dans l'article Des bienfaits de la concentration urbaine, par Roger-Henri Guerrand.

En 1920, seize îlots insalubres regroupant cent cinquante mille personnes étaient officiellement répertoriés à l’intérieur de Paris, tandis que sur 32 kilomètres autour de la capitale la zone non aedificandi des fortifications de 1845 formait une véritable ceinture de bidonvilles où survivaient difficilement quarante mille « marginaux ».