aabel
Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1983 dans l'article La voie chinoise des rébellions, par André Boucaud & Louis Boucaud.
) dispose d’un sanctuaire inviolé entre la Salween et la frontière thaïlandaise, d’où l’armée de 700 hommes, dirigée par Aabel Tweed et organisée en trois « columns », s’efforce de reconstituer ses forces après l’éclatement que connut le mouvement en 1977-1978 sous les coups de Tha Kaley et du fait des dissensions créées en son sein par les propagandistes du P.