éthicoreligieuses
Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 1975 dans l'article Le nouveau matriarcat, par Nantenin Konate.
En Guinée, la femme baga, guerzé, tama, kissi ou koniagul, du fait de la structure patriarcale et fétichiste de sa communauté et de l’existence de sociétés secrètes féminines (1), tout en étant exploitée et dominée, se trouvait à l’abri des abus de la répudiation et participait aux activités éthicoreligieuses de la communauté.