étasunien
Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 2000 dans l'article Pour que Beaubourg soit universel !, par Régis Debray.
Un musée non pas exotique mais multinational, dégagé de la névrose d’enfermement étasunien comme des brocantes folkloriques, qui déploierait la question que l’anesthésié de l’autoroute ne se pose plus : comment peut-on être, en l’an 2000, persan, mexicain, haïtien, japonais, russe, slovène ?