épouillaient
Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 1995 dans l'article Le visage de la mort, par Arturo Uslar Pietri.
(3) » Avec un geste d’expert, il prenait l’animal, tâtait son bec et ses ergots, lui soulevait les ailes du bout des doigts, lui grattait le cou et, après une bonne plaisanterie, il payait le vendeur et emportait sa dernière acquisition vers l’une des cours de la maison où, attachés à des pieux ou enfermés sous des cageots, une quantité de coqs de combat, sombres et déplumés, chantaient, battaient des ailes et s’épouillaient.